Les désinfectants à base de chlore sont toxiques. Le chlore est utilisé dans des environnements en contact avec l’homme à très petite dose à cause de sa toxicité. Toutefois, même en petites doses le chlore peut toujours avoir un effet cumulatif résultant en des effets secondaires sur la santé humaine suite à une exposition prolongée.

Le chlore est efficace que contre quelques maladies d’origine hydrique alors que l’Antinfek™ 10H élimine toutes les maladies d’origine hydrique, les bactéries et les champignons immédiatement après contact, avec 100% de décontamination.

L’Antinfek™ 10H coûte une fraction du prix du chlore ce qui fait de l’Antinfek™ 10H   l’agent  désinfectant le moins cher du marché.

L’eau traitée au chlore dégage une forte odeur alors qu’un traitement à l’Antinfek™10H est inodore.

L’eau des piscines traitées au chlore attaque les yeux, la peau, les cheveux et génère des  irritations alors que l’eau traitée à l’Antinfek™ 10H n’a pas d’effet secondaire et ni dommages sur les yeux ni d’irritation sur la peau.

L’Antinfek™ 10H empêche la prolifération des algues. C’est particulièrement efficace    contre  les algues vertes, noires et moutarde.

Le chlore s’évapore rapidement et par conséquent le niveau de protection n’est pas constant et demande un apport quotidien continu en chlore. Même avec ces apports quotidiens le niveau

de bactéries fluctue énormément alors que l’Antinfek™ 10H offre une protection constante et durable. Avec juste une application d’Antinfek™ 10H  le niveau de bactérie est contrôlée   pendant 15 à 20 jours.

En plus de son faible coût, l’Antinfek™ 10H demande un dosage beaucoup plus faible que le chlore et les autres agents chimiques de désinfection. Comparé au Chlore, la dose d’Antinfek™ 10H  recommandée est 12 fois plus faible.

Alors que le chlore est très oxydant et entraine la corrosion des tuyaux et équipements, l’Antinfek™ 10H n’est pas corrosif. Par conséquent, l’utilisation d’Antinfek ™ 10 H permet de réduire largement les coûts d’entretien. En plus du coût lié au transport, au stockage et à la manipulation, l’Antinfek™ 10H ne nécessite pas de précautions particulières en raison de son manque de toxicité et de risque d’explosion.

L’Antinfek™ 10H est actif jusqu’à des températures de 200°C sans perdre de son efficacité et sans danger pour l’homme alors que le chlore dans des douches ou bain chaud s’évapore rapidement créant ainsi du chloroforme qui est inhalé. Ce gaz peut aussi se propager dans la maison et être inhalé par d’autres. Selon des recherches conduites aux USA et présentées à l’Association Américaine de Chimie, ainsi qu’un nombre important d’études faites par d’autres chercheurs, il est démontré que les occupants d’une maison sont de 6 à 100 plus exposés aux agents chimiques (chlore, etc.) en inhalant l’air autour d’une douche ou d’un bain chaud plutôt que  s’ils buvaient cette eau.

Les effets bactéricides de l’Antinfek™ 10H ont été testés en comparaison au chlore et au chlorhydrate de sodium en accord avec les règles internationales d’hygiène. Les effets sur la décontamination de l’eau de rivière ont été observés à un dosage d’Antinfek™ 10H de 0.4 mg/l et l’inactivation à 100% des microorganismes tels que HPC, GCB, TCB, Staphylococcus, Salmonelle, Cali protobes, Pseudomonas aeruginosae, s’est opérée à la dose de 0,4 mg/l. Ce niveau de décontamination est atteint avec une dose de chlore de 4,5 mg/l, et pour le chlorhydrate de sodium il est observé avec une dose de 2-2,5 mg/l.

Des produits dérivés sont générés quand le chlore réagi avec des substances naturelles contenues dans l’eau. Certains de ces dérivés sont soupçonnés de nuire à la santé en étant la cause de cancer et d’effet négatif sur la reproduction. Des scientifiques étudient ces liens suspects ; pendant qu’ils conduisent leurs recherches, des sociétés de traitement d’eau diminuent la désinfection à l’aide de produits chimiques et se tournent vers des alternatives organiques telles que l’Antinfek™ 10 H

Les Trihalomethanes (THM)  (quatre composantes chimiques étroitement liées) sont formés lorsque le chlore est ajouté à l’eau des réservoirs contenant des matières naturelles telles que les feuilles et les débris végétaux.

En 1979, une norme internationale était adoptée exigeant que les THMs dans l’eau de robinet soit moins de 0.100 ppm, sur la base de la moyenne annuel du flux. En novembre1998, les gouvernements Américain et des Etats Européens avaient proposé de nouvelles réglementations qui fixaient la norme de flux moyenne annuelle à 0.080 ppm, et aujourd’hui elle est réduite d’avantage. L’Organisation Mondiale de la Santé a plusieurs normes concernant les Trihalométhanes (Bromure de méthylène (BDCM) : 60 μg/L, Bromoforme : 100 μg/L et Chloroforme : 200 μg/L).

En modifiant la norme de THM, l’OMS  a reconnu la nécessite de peser le risque de cancer du aux désinfectants des agents microbiens hydriques. Une façon de réduire l’exposition aux produits dérivés du désinfectant serait de diminuer la quantité de chlore utilisée pour la désinfection, mais cela pourrait accroitre la prévalence éventuelle de maladies hydriques.

Par conséquent les agences internationales de santé travaillent pour trouver le juste niveau de désinfection, afin de contrôler les agents pathogènes hydriques, tout en minimisant le risque de cancer.